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"Vinci l’avait dit... non ?"
Pour que cette installation s’intègre dans la verticalité des tours de Beaugrenelle, j’imaginais une tour virtuelle, comme une percée de lumière gravée dans l’air : légère, elle donnait corps à l’espace, apparaissant et disparaissant ponctuellement, à heures fixes.
Les structures d’un immeuble de lumière - annelé de cadres métalliques - étaient révélées par un jet de lumière d’une puissance quasi-inhumaine : venant du sol, la lumière était reflétée en haut de la tour par un miroir qui en occultait le sommet. Perdant toute notion de direction de la lumière, le visiteur découvrait une tour construite d’une matière lumineuse tour à tour solide et intangible.
« De la construction et de la déconstruction.
De l’absence, présente comme un fantôme,
De l’image tracée, esquisse entre des bâtiments animés de vie,
De la lumière-matière qui s’imprime sur la rétine comme une aura
De l’apparition solide et de la disparition fluide,
Une Tour de Babel furtive. » TD
Les structures d’un immeuble de lumière - annelé de cadres métalliques - étaient révélées par un jet de lumière d’une puissance quasi-inhumaine : venant du sol, la lumière était reflétée en haut de la tour par un miroir qui en occultait le sommet. Perdant toute notion de direction de la lumière, le visiteur découvrait une tour construite d’une matière lumineuse tour à tour solide et intangible.
« De la construction et de la déconstruction.
De l’absence, présente comme un fantôme,
De l’image tracée, esquisse entre des bâtiments animés de vie,
De la lumière-matière qui s’imprime sur la rétine comme une aura
De l’apparition solide et de la disparition fluide,
Une Tour de Babel furtive. » TD