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" Our dreams remains our dreams "
Fondation Borusan, Manoir Perili Köşk, Istanbul, Turquie
Mise en place dans le cadre de la 13ème biennale d’art contemporain d’Istanbul (qui débute le 14 septembre 2013), l’installation lumière/vidéo de Thierry Dreyfus, Our dreams remain our dreams perdurera jusqu’en 2016.
Commandée par la Borusan Foundation, cette oeuvre alliant jeux de lumière et
projections vidéo a été pensée pour la façade du musée Borusan Contemporary.
Deuxième grande œuvre monumentale dans la ville pendant la Biennale avec celle d’Anish Kapoor, l’installation de Thierry Dreyfus se situe au bord du Bosphore sur une grande maison isolée qui semble être la gardienne de la mémoire du détroit et de la ville. Appelé Perili Kösk mais aussi le « château hanté », cet édifice qui est l’un des plus beaux exemples de l’héritage architectural turc fut laissé à l’abandon pendant de nombreuses années avant
sa restauration et sa reprise par Borusan.
Our dreams remain our dreams
Dialogue entre Perili Kösk et le Bosphore, cette installation inédite fait « respirer » lebâtiment dans un élan poétique.
Quand le soleil baissera et que la lumière sera plus tamisée et plus douce, les dessous des balcons apparaîtront comme transparents grâce aux reflets en image de la mémoire de l’édifice avec les films projetés de différentes sensations et vues poétiques : ciels, nuages, eau, ou encore le soleil à travers des arbres, des pas sur le sable,… Ces images détourneront l’édifice de son esthétique originale afin de révéler ses rêves et d’offrir la personnalité d’un lieu historique pendant son sommeil.
Partir et fuir le stress urbain vers un temps suspendu, perdre la gravité, être aspiré par une porte ou les fenêtres de rêve ouvertes sous les balcons…pour y voir ses propres rêves et revivre des émotions enfouies.
Commandée par la Borusan Foundation, cette oeuvre alliant jeux de lumière et
projections vidéo a été pensée pour la façade du musée Borusan Contemporary.
Deuxième grande œuvre monumentale dans la ville pendant la Biennale avec celle d’Anish Kapoor, l’installation de Thierry Dreyfus se situe au bord du Bosphore sur une grande maison isolée qui semble être la gardienne de la mémoire du détroit et de la ville. Appelé Perili Kösk mais aussi le « château hanté », cet édifice qui est l’un des plus beaux exemples de l’héritage architectural turc fut laissé à l’abandon pendant de nombreuses années avant
sa restauration et sa reprise par Borusan.
Our dreams remain our dreams
Dialogue entre Perili Kösk et le Bosphore, cette installation inédite fait « respirer » lebâtiment dans un élan poétique.
Quand le soleil baissera et que la lumière sera plus tamisée et plus douce, les dessous des balcons apparaîtront comme transparents grâce aux reflets en image de la mémoire de l’édifice avec les films projetés de différentes sensations et vues poétiques : ciels, nuages, eau, ou encore le soleil à travers des arbres, des pas sur le sable,… Ces images détourneront l’édifice de son esthétique originale afin de révéler ses rêves et d’offrir la personnalité d’un lieu historique pendant son sommeil.
Partir et fuir le stress urbain vers un temps suspendu, perdre la gravité, être aspiré par une porte ou les fenêtres de rêve ouvertes sous les balcons…pour y voir ses propres rêves et revivre des émotions enfouies.